
J'avais laissé Björk loin derrière moi depuis les déceptions Medulla (*) et Volta et la douche froide Biophilia. Je pensais même à vrai dire que vu son orientation artisticocontemporaine (pwët-pwët) avec son chéri Mathew Barney d'où elle se perdait dans des délires partagés qui les enfermaient un peu loin de nous tous dans leurs bulles, je pouvais tirer un trait sur la dame. C'était la fin d'une période que je refermais à contre-coeur, celle où une islandaise capitaine (n'oublions pas que Björk...
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