énergique

  Avec une régularité métronomique liée au fait qu'on a plus de temps libre pendant les fêtes de fin d'année, voici donc le sempiternel et traditionnel top musical de cette fin d'année. A nouveau un top/bilan qui n'en est pas vraiment un, surtout la confirmation des disques que j'aurais le plus écouté ou qui m'auront le plus plu durant cette année si l'on prend en compte donc les sorties de cette année. Normalement les noms sont mentionnés sur les pochettes mais au pire, je précise en bas.          ... [Lire la suite]

Les années 90. Et ce hit. Ce tube. Au clip Lynchien qu'on pouvait apercevoir parfois à la télé tandis que la chanson sous sa forme la plus basique était diffusée et rediffusée à la radio, sans que cela n'altère jamais sa qualité. Peu après, ils sortaient (l'excellent) album Gran Turismo (aucun rapport avec le jeu vidéo à première vue) qui mettait leur pop en mode hyperdrive avec grosse basse et batterie qui tuent. Mais avant ça donc il y eut ce titre, qui était également dans la bande originale du Romeo + Juliette de Baz Luhrmann. ... [Lire la suite]

Serait-il sacrilège d'évoquer un morceau de musique en disant qu'il est lié à une scène bien spéciale d'un film qui a justement donné envie de se jeter dessus (sur le morceau de musique dans un premier temps, puis l'artiste dans un second). On a beau avoir beaucoup de disques et des connaissances poussées, on est pas parfait et finalement il restera encore beaucoup de choses à découvrir dans une seule vie. Quelqu'un de ma connaissance ouvrait de grands yeux exorbités la dernière fois quand j'avouais ne pas connaître du tout AC/DC,... [Lire la suite]

    Sorti de force de sa retraite, le plus grand espion de la planète l'ex-agent connu sous le nom de « Black Kaiser » est à présent menacé de mort. Dans un affrontement sans merci contre son ancien employeur, l'agence « Damoclès », Black Kaiser va devoir faire face à un expert de la torture psychotique ou à une tueuse rousse aussi belle que fatale. Sa mission ne s'achèvera que s'il meurt ou s'il tue tous ceux qui se mettront en travers de son chemin... et mourir n'est pas dans ses habitudes.Dans un... [Lire la suite]

2015 fut riche, très riche. Kamasi Washington y publiait un gargantuesque triple album qui n'a pas démérité son titre, "the epic". Autant dire qu'on y trouvait à boire et à manger, le bonhomme sous l'ornière très générale du jazz, prouvant toutefois qu'on pouvait à chaque titre se diriger vers une direction tout en gardant quelque chose d'homogène tout le long. Autant dire que j'y reviendrais probablement (hé, 3 cds, je peux donc tricher encore une à deux fois, huhu) encore, tellement mon plaisir est énorme. Bonne écoute !   ... [Lire la suite]

        "I knew a girl and her name was JudyShe used to do things I thought were rudeBut I never said anything to her face,'Cuz my friends I thought she'd kick my arse all over the place." (Judy)   Celle là je me la suis pris dans la gueule et je l'aurais pas vu venir. Mais où diable étais-je en 2006 bon sang, où ? J'écoutais plein de trucs, je n'étais pas en mode autiste (pas encore du moins) et ce truc m'a complètement échappé. C'est un mystère. Non pas que je l'ai eu entre les mains et que je... [Lire la suite]

  Ce doit être de saison mais un ami m'a redonné envie d'écouter du Tom Waits en masse. Choisi au hasard, Red shoes by the drugstore issu de Blue Valentine me fascine toujours autant, une pulsion hypnotique sur laquelle plane la voix égosillée de Waits. Enjoy !    

  3ème partie   Sitôt revenus à l'hôtel à la grâce du métro et après une légère pause, nous décidâmes de partir en avance au Barbican Center pour le second concert de Philip Glass. Il était 18h30 quand nous arrivâmes et nous décidâmes de prendre comme la veille un sandwich et une boisson sur le pouce. Il fallait arriver en avance car contrairement au concert précédent, c'était un peu plus au petit bonheur la chance : le premier arrivé, le premier servi avec sa place tranquillement. Le temps passe, tranquillement. On voit... [Lire la suite]

  L'affiche japonaise, classe.   L'affiche française. Plus... virile.   Las de la vanité parisienne, Martin (Yves Montand), s'est exilé dans une île près de l'Amérique du Sud. Un jour, de passage à Caracas, sa nuit est troublée par l'irruption de Nelly, jeune femme énergique fuyant son fiancé. Elle propose à Martin de lui vendre un Toulouse-Lautrec, emprunté à son patron en guise de salaire. Martin accepte de l'aider à rentrer en France. Soulagé, il regagne son île où il a la surprise de retrouver Nelly... ... [Lire la suite]