dimanche 9 octobre 2016
One disc, one song (46)...
J'aime bien parfois revenir à ce que j'appelle "mes fondamentaux". Des artistes avec qui j'ai grandi et qui ne m'ont plus quitté depuis. Kate Bush en est un. Et j'ai beau adorer la belle, je n'ai pas toute sa discographie non plus. Aussi je suis bien content quand je tombe sur un album que je redécouvre, voire découvre littéralement. C'est le cas de The sensual world. Un disque qu'on a tendance à oublier, coincé entre le méga ambitieux (et tubesque) Hounds of love et le raté The red shoes. Un disque qui, curieusement n'a pas eu alors... [Lire la suite]
jeudi 15 septembre 2016
Semi-bilan muzak 2016

mardi 3 mai 2016
Le douanier Rousseau ou l'éclosion moderne

jeudi 26 novembre 2015
One disc, one song (25)
Je ne le dirais jamais assez, Kate Bush fait partie de mes petits bonheurs persos. Kate, c'est du bonheur en barre, le trésor secret (enfin plus tant que ça depuis le temps) de l'angleterre, la fierté de la perfide Albion. Pendant et après une dure journée, qu'est-ce qui apporte du réconfort ? Kate Bush ! Et en plus de soigner sa musique, la belle soigne ses clips. Du travail d'orfèvre, je vous dis. Sur Hounds of love, il y a le sublime Cloudbusting, rallongé dans sa version single qui se dote ici d'une sympathique histoire et devient... [Lire la suite]
dimanche 22 novembre 2015
One disc, one song (24)...
Après tout ce qui s'est passé dernièrement, on se dit qu'on aurait bien besoin d'une part de rêve. Il suffit de demander, voyons !
Dans la carrière discographique de Stephen Stills, je vous avais déjà parlé brièvement de Manassas, son projet de super-groupe qui hélas capota en un an. Le premier disque de Manassas, un double album est splendide de bout en bout (sauf les morceaux country, mais je me répète). Il y a suffisamment de merveilles là dedans pour ne pas être rassassié avant un bon moment. Et plutôt que reciter une chanson... [Lire la suite]
dimanche 18 octobre 2015
One disc, one song (22)...
Bon j'étais pas repassé depuis un moment par ici côté musique. Restons simple, n'éyant pu trouver le morceau (un peu rare je l'avoue) d'un obscur groupe scandinave des années 70 qui faisait près de 16 mn (huhu), je ne vous ai pas mis non plus sa version live de 21mn (mais juste parce que la qualité est dégueulasse et que ben, en live curieusement ça se dégonfle, ça tient plus). Du coup, on fait assez court avec le sublime Broken bird de Crosby et Nash ! Enjoy !
jeudi 24 septembre 2015
8 1/2

dimanche 12 juillet 2015
One disc, one song (19)
A presque 2h du matin, une douce mélodie entre dans mes tympans. Voilà longtemps que je n'avais pas renoué avec Adiemus, le "groupe" de Karl Jenkins (ou plutôt son projet solo hybride) et pourtant tout le premier album (il y en eut d'autres, mais durs à trouver) est sublime. On se rappelle d'une piste très connue qui fut la bande son d'une célèbre compagnie d'aviation mais c'est un peu l'arbre qui cache la montagne. La preuve avec ce titre pris au hasard qui va probablement vous donner une sacré pêche le matin ! Enjoy !
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vendredi 12 juin 2015
One disc, one song (17)
J'ai découvert les Cocteau Twins par ce titre (dont on a une reprise dans le merveilleux Chungking Express. Reprise qui me donna envie de me pencher sur l'originale, la boucle était bouclée). Know who you are at every age et son titre difficile (trop long non ?) s'avère une pièce de rêve, éthérée et flottante, tout à fait représentative de la seconde partie de carrière du groupe, alors moins sombre et gothique, plus pop et porté vers l'ouverture et la lumière. Enjoy.
lundi 20 avril 2015
One disc, one song (14)
A nouveau comme la dernière fois, petite entorse à la règle que je me suis fixé avec un morceau en plus de celui prévu initialement (qu'on se rassure, il est court). Et donc, cette fois ce sera Andreas Vollenweider. Ce harpiste talentueux (il a construit lui-même sa harpe electro-accoustique et en joue comme d'une guitare à tel point que le résultat est souvent éblouissant), souvent varié fut hâtivement classé en musique new-âge, appellation un peu fourre-tout parfois et dont la facilité cache mal la richesse de nombreux musiciens qui... [Lire la suite]